Hematophagia - le cinéma gore jusque dans ses entrailles

Hematophagia - le cinéma gore jusque dans ses entrailles

Après son impressionnant dossier concernant les films extrêmes, présenté sous forme d'iceberg et en trois parties, Nicolas Beaudeux s'intéresse cette fois-ci au cinéma gore, de ses débuts au théâtre du Grand-guignol jusqu'aux productions plus récentes !

Quand le gore vous prend aux tripes, le goût morbide du sang remonte jusqu'au fond de la gorge, rendant l'expérience visuelle plus intense et savoureuse que jamais.
Le spectacle de la violence existe depuis la nuit des temps, et l'artifice du septième art l'incruste dans un contexte fictionnel afin de le rendre véritablement appréciable.

L'art du maquillage gore, allant du théâtre Grand-Guignol jusqu'au Splatter Movies, a parcouru bien des épreuves pour dépasser la censure et se faire ainsi accepter au sein du continent cinématographique parmi les divertissements à sensations fortes.
Adopté comme un sous-genre de l'horreur, le gore invite les cinéphiles gourmands et affamés à savourer l'impact visuel de la violence offensive sur le corps anatomique qui, de par la richesse organique qui le constitue, se présente comme la matière première de la boucherie filmique et artistique.

Let's go !

-> https://www.youtube.com/watch?v=NzlDm-xwhyg
Stéphane Erbisti