COUP DE PROJECTEUR : GABRIELE MAINETTI

COUP DE PROJECTEUR : GABRIELE MAINETTI

Nouveau rendez-vous hebdomadaire, nous vous proposons dans cette rubrique de parler chaque semaine d’un(e) cinéaste ou d’un(e) acteur/actrice qu’une partie de l’équipe (voire parfois même toute l’équipe) affectionne tout particulièrement à Horreur.com et que vous, amateurs de fantastique, vous connaissez (très) probablement mais qui échappe bien souvent au Grand Public malheureusement.

Vous ne verrez donc pas ici de Steven Spielberg, de John Carpenter, de Wes Craven et autres Sam Raimi et Peter Jackson. Nous parlerons de personnes bien moins médiatisées mais dont nous avons voulu parler le temps de quelques rapides lignes, sans vous faire une biographie ou une filmographie exhaustive, histoire de vous faire découvrir ou redécouvrir cet(te) artisan(e) du cinéma que nous aimons tant.

L’occasion de lui rendre un hommage par le biais de ce rapide article et de proposer quelques liens sur notre site par la même occasion pour (re)découvrir son univers…

AUJOURD’HUI : GABRIELE MAINETTI

Premier coup de projecteur en ce mi-Mai donc et c’est avec un cinéaste italien que nous avons décidé de démarrer ce nouveau rendez-vous hebdomadaire.

Son nom ? Gabriele Mainetti !
Avec son acolyte Nicola Guaglianone au scénario, ce véritable artisan du cinéma fantastique qui officie en tant que réalisateur, scénariste, compositeur, acteur et producteur a réussi à nous faire vibrer à deux reprises avec ses deux premiers longs métrages.

Et ce n’est pas seulement nous mais toute la sphère fantastique italienne qui a vibré devant son premier film « On l’appelle Jeeg Robot » en 2016 qui récoltera 7 David Di Donatello (l’équivalent des Césars dans le pays en forme de botte), sans oublier les distinctions reçues dans quelques festivals européens : le Grand Prix à l’Etrange Festival 2016, le Silver Scream Award au Festival du Film Fantastique d’Amsterdam ainsi que le Prix du Jury à Gérardmer en 2017 (quelle ambiance l’année-là dans la salle géromoise devant ce film plein d’énergie et d’humour).

Et notre homme et son compère ne s’arrêtent pas là : cinq années plus tard Gabriele Mainetti accouche d’un second gros bébé que votre rédacteur ne voulait louper pour rien au Monde. « Freaks out » est arrivé et c’est à nouveau une belle prouesse technique et scénaristique qui nous est offerte !
Là encore, le film rafle une grosse partie des récompenses aux David Di Donatello avec 6 statuettes ramenées à la maison ! Présenté en Compétition officielle à la Mostra de Venise entre autres, ce second long-métrage remportera notamment le Prix du Public au NIFFF (Festival de Neuchâtel, le festival de cinéma fantastique suisse).

Inutile de vous dire que nous attendons avec impatience la future troisième collaboration (si collaboration il y a) entre Gabriele Mainetti et Nicola Guaglianone !
Votre rédacteur n’est pas un adepte des notes maximales (5/5 chez nous) mais force est de constater que ces deux premiers films sont à ce niveau selon moi, comme vous pourrez le voir dans les deux critiques présentes sur le site, l’une rédigée en revenant du festival de Gérardmer en 2017 et l’autre après avoir visualisé le film sur support laser peu de temps après sa sortie.

LES QUELQUES LIENS QUI VONT BIEN :

Rendez-vous sur la critique de « On l’appelle Jeeg Robot » en cliquant sur le lien ci-dessous :
->ICI<-

Rendez-vous sur la critique de « Freaks out » en cliquant sur le lien ci-dessous :
->ICI<-

COUP DE PROJECTEUR : GABRIELE MAINETTI
David Maurice