Nouveau rendez-vous hebdomadaire, nous vous proposons dans cette rubrique de parler chaque semaine d’un(e) cinéaste ou d’un(e) acteur/actrice qu’une partie de l’équipe (voire parfois même toute l’équipe) affectionne tout particulièrement à Horreur.com et que vous, amateurs de fantastique, vous connaissez (très) probablement mais qui échappe bien souvent au Grand Public malheureusement.

Vous ne verrez donc pas ici de Steven Spielberg, de John Carpenter, de Wes Craven et autres Sam Raimi et Peter Jackson. Nous parlerons de personnes bien moins médiatisées mais dont nous avons voulu parler le temps de quelques rapides lignes, sans vous faire une biographie ou une filmographie exhaustive, histoire de vous faire découvrir ou redécouvrir cet(te) artisan(e) du cinéma que nous aimons tant.

L’occasion de lui rendre un hommage par le biais de ce rapide article et de proposer quelques liens sur notre site par la même occasion pour (re)découvrir son univers…

AUJOURD’HUI : SEVERIN FIALA ET VERONIKA FRANZ

Après vous avoir parlé du phénomène britannique Christopher Smith et en attendant de retourner très prochainement outre Manche (oui oui nous y reviendrons vite rassurez-vous), je vous propose cette semaine de franchir la frontière autrichienne et d’aller voir cette fois-ci un duo de cinéastes : Severin Fiala et Veronika Franz.
Mari et femme ? Frère et sœur ? Non non mais il y a bien un lien familial entre nos deux cinéastes : Severin Fiala est le neveu de Veronika Franz.

Veronika Franz est une ancienne journaliste de cinéma qui est mariée avec le cinéaste Ulrich Seidl, un habitué des festivals où il a présenté plusieurs de ses films (la Mostra de Venise, la Berlinale, le Festival de Cannes…), avec lequel elle a coécrit quelques scénarios.

Severin Fiala, après des études en cinéma, se lie avec sa tante pour réaliser un film documentaire pour lancer leur carrière en duo : ce sera le film « Kern » en 2012 qui rend hommage à l’acteur/réalisateur/producteur/scénariste autrichien Peter Kern.

Mais ce sera en 2014 que Véronika Franz et son neveu vont commencer à se faire connaître avec leur premier long-métrage « Goodnight mommy » que votre rédacteur avait pu voir au Festival International du Film Fantastique de Gérardmer en 2015 (une des meilleures éditions soit dit en passant).
Un film d’horreur psychologique porté sous forme de drame familial, flirtant même avec le registre du paranormal, qui repartira du festival vosgien avec le Prix du Jury Jeunes et le Prix du Jury Syfy.

Après avoir réalisé le premier segment du film à sketches « The field guide to evil » en 2018, notre duo de cinéastes autrichiens revient en 2019 avec leur second long-métrage (produit par la Hammer) : « The lodge ».
Nous voilà face à un quasi huis-clos oppressant avec une ambiance lugubre à souhait que votre rédacteur a de nouveau pu voir au Festival de Gérardmer, en 2020 cette fois-ci et présenté en Hors-Compétition. Une fois de plus un film réussi, bien que ma préférence aille à « Goodnight mommy ».

Inutile de vous dire que nous attendons impatiemment (enfin moi en tout cas…) le troisième long-métrage de nos deux autrichiens !

LES QUELQUES LIENS QUI VONT BIEN :

Rendez-vous sur ma critique de « Goodnight mommy » en cliquant sur le lien ci-dessous :
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Rendez-vous sur ma mini-critique de « Goodnight mommy » en sortie de projection à Gérardmer en cliquant sur le lien ci-dessous :
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Rendez-vous sur la critique de Stéphane de « The lodge » en cliquant sur le lien ci-dessous :
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Rendez-vous sur ma mini-critique de « The lodge » en sortie de projection à Gérardmer en cliquant sur le lien ci-dessous :
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Rendez-vous sur la critique de Vincent de « The field guide to evil » en cliquant sur le lien ci-dessous :
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