COUP DE PROJECTEUR : MICHAEL J. BASSETT

COUP DE PROJECTEUR : MICHAEL J. BASSETT

Nouveau rendez-vous hebdomadaire, nous vous proposons dans cette rubrique de parler chaque semaine d’un(e) cinéaste ou d’un(e) acteur/actrice qu’une partie de l’équipe (voire parfois même toute l’équipe) affectionne tout particulièrement à Horreur.com et que vous, amateurs de fantastique, vous connaissez (très) probablement mais qui échappe bien souvent au Grand Public malheureusement.

Vous ne verrez donc pas ici de Steven Spielberg, de John Carpenter, de Wes Craven et autres Sam Raimi et Peter Jackson. Nous parlerons de personnes bien moins médiatisées mais dont nous avons voulu parler le temps de quelques rapides lignes, sans vous faire une biographie ou une filmographie exhaustive, histoire de vous faire découvrir ou redécouvrir cet(te) artisan(e) du cinéma que nous aimons tant.

L’occasion de lui rendre un hommage par le biais de ce rapide article et de proposer quelques liens sur notre site par la même occasion pour (re)découvrir son univers…

AUJOURD’HUI : MICHAEL J. BASSETT

On vous avait parlé du britannique Christopher Smith il y a deux semaines maintenant. Hé bien nous retournons à nouveau de l’autre côté de la Manche pour vous parler brièvement d’un autre réalisateur : Michael J. Bassett.

Notre homme se fait connaître des britanniques en présentant des émissions de télévision pour enfants. Un début assez surprenant quand on sait que notre homme du jour proposera en 2002 son premier long-métrage intitulé « La tranchée ». Non dénué d’intérêt bien que très perfectible comme l’explique si bien notre ancien rédacteur Stéphane (Jolivet et non Erbisti), ce film mêlant épouvante et guerre ne restera pas dans les mémoires mais nous présente là un nouveau réalisateur britannique dans le milieu du cinéma fantastique qui ne s’arrêtera pas à ce premier film.

Et en effet, son second long-métrage intitulé « Wilderness » et réalisé quatre ans plus tard est probablement son meilleur film fantastique à ce jour. Un survival divertissant qui vient quelque peu emprunter à des films comme « Predator », « Rambo 1 » et « Délivrance » comme le dit à juste titre l’ami Vincent dans sa critique du film sur le site.

Deux ans plus tard, notre cinéaste britannique se lance dans l’heroïc fantasy avec « Solomon Kane ». Comme je le dis entre autres dans ma critique sur le site, voilà à nouveau un film certes pas déplaisant mais qui une fois de plus ne restera pas dans les annales en raison d’un scénario trop prévisible, des dialogues creux et une fin plus que bâclée bien que ce dernier bénéficie d’un très beau visuel et d’un casting de bonne facture.

Il faudra attendre quatre ans à nouveau pour revoir Michael J. Bassett derrière la caméra. Et c’est Gérald qui nous a critiqué ce quatrième film qui n’est autre que le second opus de la saga cinématographique des « Silent Hill ». Un film médiocre malheureusement qui nous fera dire que finalement le film de Christophe Gans n’était peut-être pas si vilain. Première vraie grosse déception de la part de Michael J. Bassett qui privilégiera le cinéma d’action après ce premier vrai faux pas, après avoir révélé en 2016 être une femme et vouloir se faire appeler non plus Michael J. Bassett mais M. J. Bassett.

LES QUELQUES LIENS QUI VONT BIEN :

Rendez-vous sur la critique de « La tranchée » en cliquant sur le lien ci-dessous :
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Rendez-vous sur la critique de « Wilderness » en cliquant sur le lien ci-dessous :
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Rendez-vous sur la critique de « Solomon Kane » en cliquant sur le lien ci-dessous :
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Rendez-vous sur la critique de « Silent hill : Révélations 3D » en cliquant sur le lien ci-dessous :
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COUP DE PROJECTEUR : MICHAEL J. BASSETT
David Maurice